Nous avons pu notamment contempler une Citroën Ami6 et une Renault 4 chevaux. L’Histoire nous rappelle qu’elle fut présentée le 26 août 1944, au lendemain de la libération de Paris. Elle symbolisait le retour de la paix et de la prospérité. Première voiture française accessible au plus grand nombre, comme l’indiquait le slogan publicitaire diffusé à l’époque : « 4 chevaux, 4 portes, 444 000 francs ».
Surnommée la « 4 pattes » mais aussi la « motte de beurre » à cause de sa forme et de la couleur jaune de ses premiers exemplaires.

Une DS voiture emblématique des années 1950-1970 était aussi présente. En 1962, la voiture star de Citroën s’est retrouvée bien malgré elle au centre de l’actualité. Le 22 août, deux commandos attendent la DS présidentielle qui transportait le Général de Gaulle. L’attentat manqué du Petit-Clamart a fait un seul blessé et le chef de l’État en est ressorti indemne, notamment grâce aux talents de pilote du chauffeur et à la fiabilité de la voiture, pourtant criblée de balles.
Le succès de la DS est tel qu’on la retrouve même au cinéma, dans de nombreux films devenus cultes. L’acteur Louis de Funès tourne plusieurs longs-métrages avec cette voiture, tels que « Les aventures de Rabbi Jacob » (1973) ou « Fantômas se déchaîne » (1965), dans laquelle la version volante de la DS a marqué les esprits.

Une Citroën 2 chevaux figurait également dans les voitures exposées. Elle fût appelée familièrement Deudeuche ou encore deux pattes en référence à son moteur bicylindre.

Une Simca Aronde, dont madame Monique S, résidente de l’établissement, se souvient avec émotion. C’est dans cette voiture qu’elle est arrivée à la mairie, le jour de son mariage.

Après la contemplation, place à la ballade dans le modèle de leur choix pour celles et ceux qui le souhaitaient.

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Les festivités ont commencé en Grèce, à Olympie où la flamme olympique a été allumée le 16 avril 2024. Elle a pris la mer à bord du prestigieux trois-mâts, le Belem, et a accosté au vieux port de Marseille où l’attendait le premier relayeur Français, Laurent Manaudou, champion olympique.

La flamme olympique va traverser 65 départements mais aussi l’outre-mer avec la Guyane, Nouvelle-Calédonie, la Réunion, Polynésie Française, la Guadeloupe et la Martinique.
Symbole d’unité et de paix, la flamme olympique transmet l’esprit des Jeux.

L’esprit olympique s’est invité au sein de la Filandière. Les résidents, les participants de l’accueil de jour, les familles, les bénévoles de l’association Arts et Loisirs des cheveux d’argent et le personnel se sont mis en scène afin de vous présenter une exposition humoristique autour des différents sports olympiques.

Nos ainés ont également participé à la création du décor via différents ateliers :

• Confection des 3 médailles à partir de carton recyclé, reste de papier peint….

• Peinture sur feuilles afin de réaliser les fonds destinés à recevoir les illustrations des différentes épreuves sportives, en appliquant la technique de la peinture propre (avec du papier cellophane).

• Réalisation de la flamme olympique grâce à différentes matières (papier, feutrine …). Alexia, ergothérapeute et son stagiaire Paul ont animé un atelier Patchwork avec un groupe de l’accueil de jour.

Création de la tour Eiffel, symbole de la ville de Paris, à partir d’une chute de contreplaqué par le mari d’un agent et embellie de sa jolie peinture doré.

Les réalisations sont exposées dans l’entrée et le hall de l’établissement du 21 juin jusqu’au 25 septembre.

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Cela a été un bon moment passé avec les résident(e)s et leur famille autour d’un repas festif. A cette occasion, un service à l’assiette a été proposé et les bénévoles de l’association « Arts et Loisirs des Cheveux d’Argent » étaient présents et en renfort. Le personnel de Bethel s’est impliqué dans la décoration originale et en lien avec le thème du jour.Un concert de rock et autres chansons des années 50 à 80’s, a ensuite été réalisé par Eric Mauduit, artiste qui intervient à la filandière à Déville lès Rouen depuis plusieurs années.

Les participants ont tous apprécié. Quelques pas de danse et de bonne humeur pour saluer l’arrivée du printemps, des jours qui allongent et de la végétation qui renaît ! Quid des futures sorties dans le parc attenant et des ateliers floraux dans le jardin du rez de chaussée.

Rendez-vous, en 2025.

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L’occasion pour Mirella DELOIGNON, la présidente, de faire le point sur le bilan de l’année écoulée et les événements à venir pour 2024. Elle a également annoncé son souhait de quitter la présidence pour raison personnelle.

Martine EMO, a été élue à l’unanimité et est désignée nouvelle présidente.

L’Association participe activement à l’animation et la vie sociale de l’établissement tant par l’investissement personnel de ses bénévoles que par le soutien financier qu’elle propose notamment pour l’organisation de différents événements (Spectacles, Repas festifs, Marché de Noël, ateliers créatifs…)

Les personnes qui souhaitent adhérer et s’investir dans celles –ci sont les bienvenues : personnel, familles ou les personnes extérieures. L’adhésion est possible tout au long de l’année auprès d’un membre du bureau de l’association. La cotisation s’élève à 15€ l’année.

Si vous souhaitez participer à la vie active des résidents, n’hésitez plus, l’association est faite pour vous

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Ces jeunes pousses ont proposé un programme musical varié joué au piano. Entre « La Mer » de Charles Trenet, en passant par La vie en rose d’Edith Piaf ou encore C’est si bon de Luis Armstrong, les résidents étaient ravis de ce répertoire musical qui leur a fait passer un bon moment.

Madame Stéphanie DUVAL, Directrice de l’association, était accompagnée de Monsieur Franck TERRIER professeur de musique et des familles des jeunes prodiges pour mettre en forme la prestation.

Cette rencontre a été très appréciée des résidents et sera reconduit au mois de mai prochain.

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Les aînés étaient ravis de voir les bambins se trémousser au rythme de la musique.
De manière improvisée, Madame Jacqueline LEPREVOST, résidente, a dirigé l’orchestration d’une comptine : Sur le pont du Nord.

Les résidents aiment à se rappeler des comptines plus anciennes. Les refrains chantés ont charmé ceux-ci : La mère Michel, Au clair de la lune, Meunier tu dors, Il était un petit navire,…
L’anniversaire de la petite Lya, a été célébré à l’unisson lors du goûter qui a clôturé cet après–midi.

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De prime abord, une maquette reproduisant la faune et la flore des berges nous amenait à découvrir un ragondin. Cet animal à la queue fine et cylindrique façonne son environnement en creusant des terriers le long des berges et en construisant des huttes de feuillages. En se promenant le long des berges du Cailly, il est possible de rencontrer un ragondin.

En poursuivant la visite : des reproductions miniatures de moulins à vent, de moulins à eau, de roue hydraulique ou de manège à chevaux, nous rappelaient que l‘histoire de la Corderie Vallois, à l’instar des autres manufactures, s’est développée en partie grâce à l’énergie hydraulique que génèrent les fleuves et autres cours d’eau.

L’exploitation de l’eau comme énergie contribua à la prospérité économique du territoire normand.
« A Déville lès Rouen, à Maromme, à Notre Dame de Bondeville, au Houlme, ce que nous admirions c’était de voir partout se construire les blanches et hautes filatures, les teintureries, les indienneries : usines, magasins, maisonnettes sortaient de terre comme les morilles au printemps. Voilà comment de 1827 à 1835 et même un peu par-delà, on vit se bâtir, se peupler, s’animer la petite vallée de Manchester »
Eugène Noël (écrivain normand né à Rouen en 1816)

Les résidents se sont rappelés notamment de la célèbre manufacture Christofle (Yainville) spécialisée notamment dans les arts de la table.
Des précisions leur ont été apportées sur le Robec :
La rivière du Robec, affluent de la Seine, prend sa source à Fontaine-Sous-Préaux et se jette dans le fleuve en face de l’île-Lacroix. La rivière coule sur 9,3 km. Depuis le 10ème siècle, des moulins à farine se sont implantés sur ses rives, puis des moulins à papier pendant la période révolutionnaire et enfin des filatures, teintureries travaillant la laine puis le coton au 19ème siècle.
Claude Monet, lors de l’un de ses passages à Rouen, s’est certainement promené sur les rives du Robec dont il restitue dans l’un de ses tableaux en 1872 :

Une maquette de manège à cheval a aiguisé la curiosité des résidents.
A Elbeuf, avant l’arrivée des premières machines à vapeur au début du 19e siècle, la force animale était utilisée pour actionner les machines des manufactures de draps de laine.

L’évocation de la Seine et de ses dangers potentiels a ravivé un souvenir lointain chez Madame L selon laquelle une famille avait été emportée par une soudaine montée des eaux à Sahurs, conséquence du mascaret.
D’aussi loin que l’on se souvienne, la Seine pouvait charrier des glaçons et permettre aux riverains de pratiquer le patin à glace sur la Seine.
Cette visite guidée et commentée a été appréciée de tous.

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Depuis des années, cette association contribue à préserver la mémoire du personnage en organisant des manifestations visant à faire découvrir ou redécouvrir le talent tentaculaire de l’artiste.

Cette exposition didactique comprenait des textes narratifs, des affiches, des photographies, des pochettes de disques et autres documents. Des pièces mémorielles très étayées qui ont développé la curiosité des visiteurs.
Par le biais de visites libres, résidents, familles et proches ou bien personnels ont pu profiter allègrement de l’évènement. En faveur des résidents, des visites guidées étaient mises en place par l’équipe d’animation et de vie sociale.

Cette parenthèse consacrée à BOURVIL était aussi l’occasion de revoir certains de ses films, notamment dans le cadre des séances cinéma habituellement proposées aux résidents le dimanche.

Les films : « Sérénade au Texas », « Fortunat », « Les grandes gueules » : des opus cinématographiques certes plus rarement diffusés sur le petit écran mais tout autant représentatif de l’artiste.

Le jeudi 29 février Laurent LENORMAND nous invitait à suivre les traces de l’artiste au travers d’une fresque chronologique de son œuvre et imagée par un diaporama.
Par le truchement de commentaires biographiques explicites, des anecdotes racontées, et des imitations incarnées, Laurent a su enthousiasmer durant près d’une heure trente des spectateurs charmés par la prestation. Un auditoire conquis….

Un groupe de résidents de l’EHPAD BETHEL, de Mont Saint Aignan, était invité à nous rejoindre le temps d’un après-midi autour de cette thématique. Une relation naissante et durable entre les deux établissements se construit progressivement car ils font désormais partis de la même entité depuis le 1er janvier 2023.

Chaque visite guidée était suivie d’un goûter en toute convivialité.

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A cette occasion, quatre résidentes de l’établissement s’y sont rendues, afin de se plonger dans l’histoire de cette usine très connue de la Vallée du Cailly.

Les visiteurs pouvaient y retrouver des documents originaux, comme le cadastre pour l’emprise progressive du site jusqu’à 13 hectares, obligeant progressivement à raser des maisons, détruire des rues et rayer des quartiers. Mais également des bordereaux de commandes, des cartes postales et quelques reproductions qui ont fait revivre les grandes heures de l’histoire métallurgique de Déville-lès-Rouen.
Cette exposition étayée et documentée a suscité la curiosité des visiteurs du jour.

Sur le chemin du retour, afin de terminer la journée sur une note chaleureuse quoi de mieux qu’une pause goûter à la cafétéria du Centre Commercial de Bapeaume lès Rouen.

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