Reconnaissable à ses maisons à pans de bois, de chaux ou de briques rouges, ce petit coin pittoresque du Pays de Caux respire l’authenticité normande.
Un village qui présente de nombreux atouts dont la présence d’un chêne millénaire qui étend ses ramures à côtés de l’église mais pas que….

Un arbre pas comme les autres
Le Quercus Robur d’Allouville, nom scientifique, aurait environ 1200 printemps, ce qui en ferait le chêne le plus âgé de France.

Il en aurait des choses à dire après avoir vu s’égrener les aléas du temps et de la grande Histoire de France. Une légende voudrait qu’il eût été planté en l’an 911 à l’occasion de la naissance de la Normandie, mais les scientifiques soutiennent qu’il est sorti de terre, plus précisément au IX siècle, sous Charlemagne.
Un symbole d’éternité classé « Arbre remarquable de France » dont les dimensions atteignent une circonférence de 15 mètres et une hauteur de 18 mètres. Avec son apparence trapu, biscornu, ridé comme un vieux pachyderme, on pourrait le croire sorti d’un film de Tim Burton.

Deux petites chapelles
Adulé pour son pouvoir supposé de guérison et de protection contre les malheurs, le chêne d’Allouville est devenu au fil des siècles un lieu sacré. En vieillissant, son tronc s’est creusé de l’intérieur.
Un jour de 1696, on s’amusa à y faire entrer quelque quarante enfants. Et le curé de la paroisse, l’abbé du Détroit, décida peu après d’y installer une petite chapelle dédiée à la Vierge. Quelques années plus tard, la cavité supérieure fut aussi aménagée en chapelle et baptisée Chambre de l’ermite.
Cet arbre millénaire attire plus de 30 000 visiteurs chaque années, lesquels gravissent les escaliers menant à la chapelle haute.

En traversant les siècles, il s’est exposé aux fureurs de la météo, et à celles des hommes : plusieurs fois foudroyé, plusieurs fois menacé d’être abattu.
D’ailleurs une fiction cinématographique de 1981 « Le Chêne d’Allouville » avec Jean Lefebvre, racontait la mobilisation des villageois pour protéger celui qu’ils appellent ce « Trésor vivant » contre des spéculateurs immobiliers.
A ce propos le film fut proposé aux résidents dans le cadre de nos séances cinéma du dimanche au CHG La Filandière.
Aujourd’hui, les infiltrations d’eau notamment dans les chapelles nécessiteraient de petits travaux de restauration.
« Ces travaux, notamment de tuilage, sont nécessaires avant qu’il ne soit trop tard… », prévient Didier TERRIER Maire du village. Concrètement, la mairie souhaite remplacer en priorité les petits palets de bois qui recouvrent depuis 200 ans à la façon d’une cotte de mailles l’écorce naturelle du « vieux chêne », qui, s’enorgueillissent les Allouvillais, bourgeonne encore chaque année.

Une classe des années 50
Sur la place du village est aménagée une classe des années 50.

Reconstitution d’une classe des années 50 avec ses tableaux noirs, ses pupitres en bois, ses armoires remplies d’objets scolaires. Les visiteurs accueillis par les Anciens élèves sont plongés dans l’atmosphère de cette époque. Tous les thèmes sont abordés!

Un retour aux sources face aux encriers en porcelaine et l’encre violette, aux cartes de géographie ou de sciences… aux livres de grammaire, de géographie, d’histoire, de leçons de choses, aux cahiers d’écoliers…
Des exercices sont proposés : écriture, conjugaisons, dictées, calculs…en autocorrection et en mode jeux.
Colette ancienne élève nous proposait de nous faire revivre un classique de l’apprentissage scolaire d’antan : une dictée en s’adonnant à l’usage de la plume et de son encrier avec son buvard et en pratiquant les pleins et les déliés.
Nos Aînés n’ont pas perdu la main, le résultat est probant….

Crêperie artisanale
Pour clôturer nos visites, nous nous rendions au Chou-Chêne, crêperie artisanale, à conseiller pour les gourmands et les gourmets. Un lieu de partage et de gourmandise, chaleureux, où l’on se retrouve autour de délicieuses crêpes faites maison aux ingrédients frais et locaux pour vous offrir une expérience à la fois authentique et savoureuse.

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Autodidacte ou élève de l’école de musique, chaque musicien est différent et apporte sa touche musicale.
Les cuivres et les percussions agrémentés parfois par la voix de Frédérique membre du groupe, nous invitaient à revisiter les standards musicaux des décennies précédentes. Un parfait alliage entre le passé et le présent dans lequel nous retrouvions des compositions musicales d’artistes intemporels : Freddie Mercury, Daft punk, Otis Redding, Mickael Jackson en passant par Sidney Bechet ou Louis Armstrong.
Pour l’occasion, un spectacle en plein air grandement apprécié des résidents, des familles, des personnels mais aussi des voisins et passants …..

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Comique ou tragique, chanteur ou acteur, il a su jongler entre les registres et charmer son public grâce à son humilité et son naturel.
Mastodonte du cinéma des années 1950 et 1960, sa filmographie marque encore les esprits à l’heure actuelle.
Les partenaires féminines de Bourvil ont été nombreuses, connues ou moins célèbres, elles sont indissociables de la carrière de l’artiste.
En guise de commémoration, cette fois-ci, l’association décidait de porter un éclairage sur les femmes de ses films.
Comme souvent lors des sorties avoisinant l’heure de route, nous déjeunions tous ensemble afin de profiter pleinement de la journée.
En arrivant sur place, sur le lieu de l’exposition, nous étions accueillis chaleureusement par des bénévoles de l’association dont Gervaise LEMETEIL, nièce de Bourvil et Présidente, accompagnée pour la circonstance du gardien des lieux.

D’ailleurs, Gervaise et Mme Maryvonne L se sont connues durant leur jeunesse, elles étaient de la même localité et évoquent peut-être des souvenirs communs…

Les visiteurs auront reconnu des actrices comme Arletty, Brigitte BARDOT, Michèle MORGAN, Danielle DARIEUX et bien d’autres encore.

Des affiches, des photographies d’époques, des films didactiques, des articles de Presse, des synopsis viennent étayer cette exposition.

Ces passionnés associent tradition et modernité pour continuer à perpétuer la mémoire et l’œuvre de l’artiste.
Par exemple des timbres spéciaux, une carte postale comportant les visages de trois artistes féminines et la création d’une animation cinématographique avec l’aide de l’intelligence artificielle. Une prouesse technologique que vous pouvez consulter sur leur site internet : les amisdebourvil.com ou bien sur les réseaux sociaux tels que Facebook.
Un goûter avant de reprendre la route et nous repartions non pas « à bicyclette » mais en « auto ».

Pour prolonger le plaisir, nous regardions le film « Le chemin des écoliers » avec Bourvil le dimanche suivant, au CHG La Filandière, dans le cadre des « séances cinéma » dominicales.

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Certains des plus beaux arbres de la région, classé « Arbre remarquable de France » rayonnent dans le Parc du Château du Taillis.
C’est dans ce cadre verdoyant que notre visite a commencé avec la rencontre inopinée d’un chien de Berger aux aguets et vigilant à la tranquillité de son troupeau.

La promenade s’est poursuivie par une excursion plus approfondie du domaine avec son verger, ses plants de mûres pour une cueillette impromptue.

Nous nous sommes arrêtés pour une pause photo sous une gigantesque tonnelle de glycine.

Nous avons également fait une pause goûter à l’ombre d’un arbre en guise de répit.

Des remerciements vont à l’endroit du gestionnaire du patrimoine pour son accueil chaleureux et les commodités mises à disposition durant notre parcours.
Ce domaine bénéficie de nombreux atouts pour une découverte plus étendue avec la visite des intérieurs du Château, de l’Orangeraie, de la Serre ou encore de son musée de la seconde guerre mondiale. Des caractéristiques qui nous inciteront sans doute à y revenir…

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Cette histoire extraite d’un recueil de treize contes en l’occurrence « les Contes de la rue Broca », écrit par Pierre Gripari, paru en 1967.

A sa sortie, ce récit théâtralisé connu un succès populaire et suscita l’intérêt des générations suivantes. Certes la genèse du conte s’adresse à un jeune public mais aussi à tous ceux qui ont gardé un coeur d’enfant.Pour l’occasion la mise en scène de ce conte, à la fois traditionnel et très contemporain, était magnifiée par les prestations musicales de 3 musiciens de l’opéra Orchestre Normandie Rouen et d’une narratrice.
La sorcière du placard aux balais raconte l’histoire suivante :
« Monsieur Pierre se trouve par hasard un jour à la tête d’une fortune de cinq francs. Il décide de s’acheter une maison. Coquette, bien située, avec chambre, cuisine, salle de bains, salon, pipi-room et placard aux balais, cette demeure a vraiment tout pour plaire. Une affaire ! Mais bientôt, Monsieur Pierre découvre qu’une méchante sorcière se cache dans le placard aux balais… Furieux, il retourne chez le notaire qui n’est en aucun cas surpris. L’homme de loi lui fredonne l’air qu’il ne devra jamais chanter sous peine de faire apparaître la monstrueuse femme. Un soir, légèrement éméché, Monsieur Pierre chante la ritournelle interdite et libère la sorcière… Mais Monsieur Pierre n’a pas dit son dernier mot ».
A l’aide d’un cor anglais, d’un basson et d’un hautbois les musiciens donnaient vie à cette histoire aux rebondissement multiples.
Ce spectacle théâtralisé était parfaitement incarné par la voix de la conteuse.

Une représentation scénique qui éveilla la curiosité et l’émerveillement des résidents présents.
En clôture de cette parenthèse enchantée, les musiciens, tour à tour, expliquaient avec simplicité les spécificités musicales de leurs instruments.

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Nous voilà partis pour 50 minutes de route direction Saint-Aubin-de-Quillebeuf pour une journée champêtre. Au programme : balade en calèche durant près d’une heure autour du marais vernier, entouré de champs de lin, de blé. Nous avons pu apercevoir le pont de tancarville, le pont de Normandie mais aussi le nid d’une cigogne avec un bébé cigogne. Il y a eu 2 naissances cette année alors qu’il y en avait eu 3 en 2024.

De retour sur le site, nous avons partagé un repas champêtre avec au menu un steak haché et des frites, accompagnés de cidre et jus de pomme maison, et pour finir une tarte normande avec une boule de glace vanille.

Et vous n’allez jamais nous croire, à la fin du repas, au fond du jardin… nos yeux se rivent sur une limousine ! Pour la plupart ce fut une grande première. MR L s’est même installé au volant !

Voilà, après ce bon moment il était temps de reprendre notre route pour rentrer, et bien sûr avec notre véhicule et non la limousine.
Quel bonheur l’air de la campagne pour de vrai citadins… en espérant renouveler ce rendez-vous pour l’année prochaine.

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Un immense bravo à tous pour leur implication et leur esprit d’équipe, grâce à eux, le hall respire l’énergie, la passion et la fierté de notre ville adorée.

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Cette année, sous une belle journée ensoleillée voire caniculaire, tout l’évènement a pu se dérouler en extérieur sur le parvis.

Une 4L, une Aronde, une 2 Chevaux, une DS, un Van…. des 2 roues également, il y avait le choix pour combler au bonheur de chacun. Durant la matinée encore à la fraiche, les résidents ont pu faire des tours de voiture avec le propriétaire de chaque véhicule. Un moment rempli de souvenirs, de joie. Des discussions sur l’Avant.

Qui dit forte chaleur dit glace! Cette année, un glacier était présent pour notre plus grand plaisir et nous proposait de bonnes glaces à l’italienne.

Mr Lenoir a animé l’après-midi avec son Orgue de Barbarie. Au programme, musique chant et pour finir quizz.

Cet évènement était ouvert à tous, résidents, familles, personnes extérieures et s’est déroulé dans une très bonne ambiance chaleureuse et conviviale.

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Le 17 mai, sous une belle journée ensoleillée mais pas trop chaude, ce fut au tour du patio attenant à la salle animation du rez-de-chaussée de se refaire une beauté.
Après un bon coup de karcher sur le sol, il nous restait plus qu’à embellir avec de belles plantations.
Les jardinières se sont vues agrémentées avec des géraniums, lierre, des aromates (persil, ciboulette, basilic)…
Des « petites mains vertes » en action pour un résultat probant.

Après tant d’efforts, l’équipe d’animation et de vie sociale soutenue par la participation active de résidents volontaires a décidé de s’inscrire pour la deuxième année consécutive au concours des maisons et balcons fleuris dans la catégorie collectif et établissement public, organisé par la commune de Déville lès Rouen.
Le patio accolé à la salle animation était exposé à l’examen du jury le samedi 7 juin.

Le vendredi 27 juin à 18h00, une délégation de la Filandière se rendait à l’hôtel de ville pour la célébration des remises de prix.

Détenteur du 1er prix lors de l’édition précédente, c’est par le 2ème prix que la délégation fut récompensée cette année avec beaucoup de fierté.

A noter la générosité de l’enseigne « Valérie fleurs » situé route de Dieppe qui pour les remises de prix de l’année dernière et de cette année nous a fait bénéficier d’un bon d’achat participant ainsi à l’embellissement du patio.

Le patio de la salle animation est ouvert la journée et est à disposition des entourages des résidents.

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Dans le cadre de son projet, Sidonie a appelé onze classes des écoles de la ville pour participer à une série de quatre ateliers chacune. Le thème choisi était le carnaval. Des dessins, des fresques ont été réalisés par le biais de ces ateliers créatifs selon des techniques spécifiques comme le fusain.

En plus du Logis, il nous a été proposé d’accueillir le temps d’une exposition des dessins réalisés par les enfants des écoles de la commune. Les enfants et leurs familles impliqués dans la réalisation de ces œuvres étaient fiers de les voir exposées ainsi.

Cette opportunité nous a permis de nous inscrire dans la dynamique culturelle portée par ce projet sur un territoire Dévillois bouillonnant en la matière.
Nous avons également été conviés au vernissage de l’exposition des œuvres de l’artiste au Logis.

Vous pourrez également apprécier son talent grâce à une fresque réalisée sur le mur à l’entrée de notre établissement.

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