C’est une rencontre qui permet de mettre au centre les résidents et les soignants pour aboutir à un projet commun afin de partager un moment convivial. Ils en sont acteurs et cela a pour but de changer du cadre habituel des soins.

Cette année, leur choix s’est orienté vers une sortie « cabaret transformiste : le Cristal » à Rives en Seine.

Autrefois ancien restaurant, il a été réinventé en ce lieu magique ouvert depuis 4 mois, créé par Jonathan dont le nom de scène est « Cristal Chic », accompagné par deux complices de toujours « Mikaela et Maryline » et « Lulubelle de Paris ».

Les participants ont profité d’un déjeuner accompagné d’une représentation où des artistes imitent, interprètent des célébrités en jouant sur les costumes, maquillage, chansons entrecoupées d’instants culinaires.

Les résidents ont vécu une expérience unique où l’élégance rencontre la fête (plumes, strass, paillettes…). Une expérience éblouissante et inoubliable mêlant humour, glamour et talent et le tout dans un ambiance conviviale et festive.

Le public était conquis et les résidents sont repartis le cœur léger et le sourire aux lèvres.

Un grand merci à la direction pour avoir rendu possible ce beau moment de partage entre les résidents et l’équipe soignante autour d’un cabaret plein de joie et de bonne humeur.

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A cette occasion, deux résidentes, Mme Truong et Mme Metenier, ont pris la direction de Pavilly pour profiter d’une belle sortie festive et chaleureuse avec Alicia.

Une sortie réussie qui a su raviver les souvenirs et tisser de nouveaux liens et tout ceci dans une ambiance de convivialité et de fierté régionale.

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Il était proposé aux visiteurs de se familiariser au contact des poneys par le pansage et les soins, des ateliers pédagogiques et créatifs ou tout simplement par une promenade sur le dos de nos chers équidés.
Dans un élan de bravoure, 3 résidents ont émis le souhait de monter à califourchon ces chevaux de « petites tailles ». A les écouter Mme D n’avait plus chevauché depuis son enfance, Mme S en faisait son baptême et Mr B en avait un souvenir lointain.

Sous la vigilance de Perrine soigneuse et monitrice et des accompagnants, la chevauchée se déroulait dans des conditions sécures. Un escalier d’appoint permettait aux résidents d’enfourcher la bête avec plus de facilités.

Carine la responsable du Centre équestre nous expliquait les rudiments du monde équestre.

Une monitrice au stand animalier questionnait les visiteurs sur les nutriments à apporter aux chevaux.

Une compétition de sauts de haie s’organisait avec beaucoup de complicité entre les enfants et les Aînés. Une course de saut de haie en relais dans laquelle nos Anciens n’ont pas démérité bien au contraire, applaudis et encouragés sous les vivats des enfants.

Christian nous expliquait le fonctionnement d’une ruche pédagogique située au coeur du jardin, présentant les caractéristiques d’être sans danger pour le voisinage et apporter tous les bienfaits qu’elle procure notamment l’apport d’un miel délicieux : pas loin de 10kg par an.

Un évènement placé aussi sous le signe du vivre ensemble durant lequel des échanges bienveillants se sont naturellement manifestés entre les visiteurs toutes générations confondues.

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Pour cette 42ème édition, nous décidions de nous enquérir du programme culturel nous amenant à explorer les joyaux architecturaux ou profiter des œuvres artistiques déployées lors de cet évènement sur Rouen et sur la Vallée de Seine.

Pour ce premier acte, le samedi 20 septembre en concertation avec des résidents du CHG la Filandière, l’objectif affiché était clair, celui de visiter le Musée des sapeurs-pompiers de Montville.

Depuis sa création en 1993, il abrite des collections de véhicules, matériels, gravures, documents d’époque, casques et uniformes qui retracent l’action des soldats du feu depuis le 18^e siècle.

Il bénéficie du label « musée de France ». Il se déploie dans un bâtiment de 2500 m² et fait accourir

chaque année plus de 10 000 visiteurs.

Considéré comme une référence nationale avec celui de Lyon.

L’attrait pour le Musée des Sapeurs-pompiers de France vient de la qualité de sa collection. Il traite de l’évolution du métier du XVIIIe siècle à la fin des années 1960 et montre la diversité des moyens pour lutter contre les incendies.

Une balade dans ce qui a constitué la légende des soldats du feu.

Pour cet évènement y figurait aussi une exposition temporaire intitulée « 1000 ans de Normandie », qui met en lumière l’histoire fascinante de cette région. Une plongée immersive dans l’histoire normande…

En fin de parcours un petit mot sur le cahier de doléances, pour remercier les organisateurs de leur accueil chaleureux et surtout de souligner la praticabilité du lieu pour la circulation des personnes à mobilité réduite.

En conclusion, une photo souvenir avec des sapeurs-pompiers de Montville et les jeunes pousses de la vallée du Cailly.

Pour le second acte, nous décidâmes de nous rendre le dimanche 21 septembre, au cœur du village de Cailly, à l’église Saint-Martin pour y assister à un concert des Trompes de chasse de Saint-Hubert de Rouen.

Cet évènement organisé par l’association Cailly Patrimoine Vivant, représentée entre autres par Joséphine GOUIN et Cyril BEGUE, nous a proposé un spectacle grandiose dans un cadre historique offrant une acoustique remarquable.

Le groupe des Trompes Saint-Hubert de Rouen, reconnu pour son excellence musicale et sa maîtrise de cet art ancestral, interpréta un répertoire riche et varié, mêlant tradition et virtuosité.

Au gré des passages des compositions musicales, un narrateur apportait des précisions historiques sur les caractéristiques de cet Art.

Avec Brio, le club d’accordéoniste de Maromme nous proposait en alternance un récital de morceaux musicaux dont nous sommes friands. Des mélodies sublimées par le talent des musiciens et le cadre atypique parmi lesquelles nous reconnaissions les compositions interprétées par Edith Piaf, Claude Nougaro et des morceaux plus engagés comme Bella Ciao.

Un concert mêlant tradition et modernité à la fin duquel nous engagions quelques pas de danses avec la complicité des artistes.

Nous remercions vivement les organisateurs tels que Joséphine et Cyril d’avoir facilité notre arrivée et installés dans des conditions idoines.

Cette église est un joyau du Patrimoine de la Vallée de Seine. Le Chœur roman remonte au XIIe siècle, le clocher au XIIIe siècle et la nef a été reprise au XIIe siècle.

Un monument qui réclame des travaux d’entretien et de réparation dont les bénévoles de l’association Cailly Patrimoine Vivant se dévouent corps et âmes pour mener à bien cette cause louable et d’intérêt public. Des spectacles, des concerts, des évènements sont organisés tout au long de l’année pour recueillir des fonds permettant la préservation de l’édifice.

Nous ne manquerons pas de porter une attention soutenue à la programmation de leurs spectacles pour revivre un moment exceptionnel comme nous l’avons vécu.

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Accompagnés d’Alicia et Hioly, cinq résidents ont pu s’immerger dans l’univers apaisant des chevaux. Ils ont pu caresser les chevaux et se balader dans la mini ferme avec les canards.

La zoothérapie, notamment avec les chevaux, est de plus en plus reconnue pour ses bienfaits sur les personnes âgées, elle stimule la mémoire, favorise l’apaisement et renforce les liens sociaux.
Voir nos résidents sourire, s’émerveiller, échanger autour des animaux est une véritable récompense. Ces moments-là sortent du cadre médical et ramènent simplement à la joie de vivre.
Fort de ce succès, les organisateurs prévoient déjà de renouveler cette expérience.

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Pour bien commencer cette sortie, les résidents de chacun des établissements ont pris place dans un bateau mouche pour une balade d’une heure. Les résidents ont reconnu les monuments célèbres de Paris : Arc de triomphe, la tour Eiffel… Durant le voyage, Mme M. a dit que c’était « sensationnel ».

A la suite de la croisière, les résidents ont pique-niqué sur les quais avant de reprendre la route avec une petite pause « glace » au McDo car il faisait très chaud.

Cette journée a été appréciée par les résidents, dont les sourires et les yeux pétillants pouvaient se lire sur leurs visages.

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De prime abord, une maquette reproduisant la faune et la flore des berges nous amenait à découvrir un ragondin. Cet animal à la queue fine et cylindrique façonne son environnement en creusant des terriers le long des berges et en construisant des huttes de feuillages. En se promenant le long des berges du Cailly, il est possible de rencontrer un ragondin.

En poursuivant la visite : des reproductions miniatures de moulins à vent, de moulins à eau, de roue hydraulique ou de manège à chevaux, nous rappelaient que l‘histoire de la Corderie Vallois, à l’instar des autres manufactures, s’est développée en partie grâce à l’énergie hydraulique que génèrent les fleuves et autres cours d’eau.

L’exploitation de l’eau comme énergie contribua à la prospérité économique du territoire normand.
« A Déville lès Rouen, à Maromme, à Notre Dame de Bondeville, au Houlme, ce que nous admirions c’était de voir partout se construire les blanches et hautes filatures, les teintureries, les indienneries : usines, magasins, maisonnettes sortaient de terre comme les morilles au printemps. Voilà comment de 1827 à 1835 et même un peu par-delà, on vit se bâtir, se peupler, s’animer la petite vallée de Manchester »
Eugène Noël (écrivain normand né à Rouen en 1816)

Les résidents se sont rappelés notamment de la célèbre manufacture Christofle (Yainville) spécialisée notamment dans les arts de la table.
Des précisions leur ont été apportées sur le Robec :
La rivière du Robec, affluent de la Seine, prend sa source à Fontaine-Sous-Préaux et se jette dans le fleuve en face de l’île-Lacroix. La rivière coule sur 9,3 km. Depuis le 10ème siècle, des moulins à farine se sont implantés sur ses rives, puis des moulins à papier pendant la période révolutionnaire et enfin des filatures, teintureries travaillant la laine puis le coton au 19ème siècle.
Claude Monet, lors de l’un de ses passages à Rouen, s’est certainement promené sur les rives du Robec dont il restitue dans l’un de ses tableaux en 1872 :

Une maquette de manège à cheval a aiguisé la curiosité des résidents.
A Elbeuf, avant l’arrivée des premières machines à vapeur au début du 19e siècle, la force animale était utilisée pour actionner les machines des manufactures de draps de laine.

L’évocation de la Seine et de ses dangers potentiels a ravivé un souvenir lointain chez Madame L selon laquelle une famille avait été emportée par une soudaine montée des eaux à Sahurs, conséquence du mascaret.
D’aussi loin que l’on se souvienne, la Seine pouvait charrier des glaçons et permettre aux riverains de pratiquer le patin à glace sur la Seine.
Cette visite guidée et commentée a été appréciée de tous.

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Malgré le charme indéniable de cette jolie commune, c’est vers un plat de moules/frites et une balade le long de la mer que s’est portée notre préférence, en cette belle journée de septembre.

Après cette longue période de confinement, les personnes de l’ADJ nous ont dit être extrêmement contentes de cette sortie et d’avoir pu respirer l’air marin.

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Florent LAMOUROUX a été professeur d’Arts Plastiques de 2004 à 2016.

Il produit des sculptures, des photographies, des installations ou des performances dans lesquelles le détournement tient une place prépondérante.

Ses créations mettent en scène des enveloppes corporelles clonées, des secondes peaux de plastique.

Dans l’exposition présentée au Centre d’art contemporain de la Matmut, Florent Lamouroux prolonge ce traitement de la surface des corps à l’égard du paysage et de la nature.

Ces sculptures ont suscité de nombreuses interrogations chez nos personnes accueillies. Devant ces corps, accrochés au mur, certains s’interrogent sur leur fonction.

Mme A. s’inquiète pour cette personne, si fatiguée, qu’elle doit s’asseoir par terre ou encore ces petits personnages qui se promènent sur leur étagère.

Ou encore, Mr L. qui ne comprend pas pourquoi les poubelles ont été entreposées à l’intérieur

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Cet espace vous permettra de rendre visite à votre parent, résident à la Filandière, à partir du lundi 27 avril 2020 et selon des modalités définies au sein d’une charte, qui vous sera communiquée en amont de votre première visite, et que vous pouvez consulter également ci-dessous.

Cette charte sera à signer pour pouvoir être admis à visiter votre parent, et un questionnaire de santé sera à compléter à votre arrivée dans l’établissement.

Les demandes de visite sont à effectuer auprès de l’accueil par téléphone au 02.35.75.20.20.

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